Winemarkets

La marché du vin au Royaume Uni

Premier importateur mondial de vin, le Royaume-Uni se positionne comme un des acteurs les plus influents sur le marché mondial grâce à ses importateurs audacieux mais aussi à ses dégustateurs et critiques influents… la prochaine London Wine Fair vise même à détrôner Vinexpo !

Cependant, le Royaume-Uni a vu sa consommation baissée en 2009 de 6% et ce, après avoir connu une croissance soutenue sur la dernière décennie. La hausse des droits d’accise, la crise économique et les lobbyings sur les dangers de l’alcool sont autant de raisons pour expliquer cette baisse. Pour autant, ce marché ultra concurrentiel continue d’offrir des opportunités et nécessite une approche basée sur la différenciation et l’information apportée aux consommateurs.

Tout savoir sur le marché du vin au Royaume-Uni  (attention, certains contenus sont résérvés aux entreprises du vin domiciliées en Aquitaine)

Le saviez-vous ?
• La France occupe la place de 1er fournisseur du Royaume Uni en valeur et la 3ème en volume. Elle continue de perdre des places sur les volumes exportés. Voir les importations
• Les vins monocépages perdent des places face aux vins d’assemblage… une chance à saisir pour les vins français ! Voir la consommation
• 50% de la population boit du vin régulièrement (soit une bouteille par semaine pour un foyer britannique)Voir la consommation
• Les vins rosés sont le segment le plus dynamique avec une progression estimée à 12%. Voir la consommation
• Les femmes sont les principales acheteuses de vin, elles sont sensibles aux promotions et à l’étiquette. Voir la consommation
• 43,5% des britanniques boivent du vin sans connaître le cépage, la région d’origine..d’où le succès des marques. Voir la consommation
• Les ventes en grande distribution sont portées par les marques et représentent 70% des ventes du pays. Voir les lieux de vente
• Le prix psychologique dans la grande distribution varie entre 4€ et 6€. Voir les prix pratiqués
• Succès grandissant des ventes par Internet. Voir la distribution

 

Norvège : un marché du vin lucratif

Avec une population s'élevant à plus de 4,6 millions d'habitants, le marché norvégien des vins continue de rencontrer une progression constante avec une consommation qui a presque doublé sur les dix dernières années. Le vin s’est pleinement démocratisé et semble s’installer dans la culture norvégienne.

De par son monopole, le marché norvégien est difficile à pénétrer mais il peut être l’un des marchés au monde les plus lucratifs pour celui qui a un vin qui se vend bien. L’influence de la presse nationale sur le consommateur est telle qu’une excellente note attribuée à un vin lui assure des ventes jusqu’à rupture des stocks.

 Ce qu'il faut savoir sur le marché du vin en Norvège :
• La France occupe la place de 1er fournisseur de la Norvège en valeur et le second en volume. Sa position de leader est nettement remise en cause par l’offre italienne et des vins du nouveau monde (Voir les importations)
• Les Norvégiens préfèrent les vins légers et fruités (Voir la consommation)
• Une forte partie de la consommation échappe au système de taxation et est donc difficilement chiffrable : elle résulte du commerce transfrontalier par les lignes maritimes et aériennes. (Voir la consommation)
• Le format bag-in-box est de plus en plus apprécié (estimé à 42% du marché du vin) et représente une part croissante des achats. (Voir la consommation)
• La consommation continentale, c'est-à-dire la consommation régulière et en petites quantités à l'occasion des repas ou en fin d'après-midi commence à s'imposer. (Voir les lieux de vente)
• Le panier moyen en hausse des consommateurs et l’intérêt des chefs et sommeliers souhaitant proposer de nouveaux produits et se démarquer du monopole créent dans le secteur CHR de réelles opportunités d’affaires. (Voir les lieux de vente)
• 90% des ventes de vin se font sur des produits inférieurs à 12 EUR alors que la bouteille la moins chère coûte autour de 8,40 EUR. (voir les prix pratiqués)
• Le marché est régi par le Vinmonopolet : les appels d´offres sont publiés et envoyés aux importateurs 2 fois par an (juin et décembre). Les offres doivent obligatoirement être soumises au Vinmonopolet par l´intermédiaire des grossistes-distributeurs. Tout producteur souhaitant répondre à un appel d´offres du Monopole doit conclure au préalable un accord avec un importateur local. (voir les données reglementaires et législatives)

En savoir plus sur le marché novégien avec le site www.ca-vinexport.com 

NB : Attention, certains contenus du site sont réservés aux entreprises viticoles d'Aquitaine !

Créer l'événement autour des fleurs et du vin

Initiative très sympathique du Château de Campuget qui créait l'événement pour l'arrivée des beaux jours en concilliant vin et fleurs !

Au printemps 2010, le Château de Campuget va marier les senteurs des fleurs et plantes méditerranéennes, aux arômes de ses vins.

Le temps du week-end, il ouvrira son parc à une exposition-vente où les pépiniéristes et horticulteurs de la région sud présenteront le meilleur de leur production.
L’artisanat sera également à l’honneur à travers des produits gourmands et des objets qu’il fait bon déguster ou utiliser dans le cadre d’un jardin ou d’une terrasse.

Rouge, blanc, rose… Les fleurs n’auront pas le monopole de la couleur. Les vins réputés du domaine brilleront de tous leurs feux, sous la houlette du vigneron qui sera au rendez-vous pour faire découvrir le fruit de son travail et répondre à toutes les questions des visiteurs.

Au programme également de ces deux journées festives et ouvertes à tous :
animations pour grands et petits,
promenades en calèche dans les vignes,
restauration sous les arbres…
Samedi soir, sur réservation, dîner au Château avec concert de Jazz.

Tous les ingrédients pour passer un délicieux moment à la campagne tout en découvrant le Château de Campuget.

Contact :

Chateau de Campuget
30129 MANDUEL
Tel: 04 66 20 20 15
www.campuget.com
[email protected]

1855 lance son application Iphone

 1855 annonce la sortie de son application dédiée à l'iPhone, disponible sur l'App Store et accessible aux plus de 30 Millions d'iPhone en circulation dans le monde. L'application iPhone de 1855 permet aux amateurs de vins de connaître rapidement le prix d'un vin avant de le choisir au restaurant, ou avant de le sortir de sa cave.

L'amateur peut découvrir également les secrets de dégustation de ce vin, les notes de 1855, de Robert Parker et des meilleurs avis de journalistes spécialistes du vin. En un seul clic, l'amateur peut appeler 1855 pour commander. "Avec l'application de 1855, l'amateur met ainsi dans son iPhone plus de 25 000 vins, le plus grand choix de vins au monde" commente la direction de 1855.

Le marché mondial de vin a baissé de 3,6% en 2009 !

Pour la première fois depuis le début de ce siècle, le marché mondial du vin a diminué en 2009. Selon les statistiques publiées mardi par l'Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV), les échanges internationaux ont atteint l'an dernier 86,1millions d'hectolitres (Mhl), soit une baisse de 3,6% par rapport à 2008. «Épargné jusqu'à présent par la crise économique, le marché mondial du vin marque une régression en 2009, essentiellement à cause d'importants reculs de la demande dans les grands pays producteurs, consommateurs et importateurs», souligne Federico Castellucci, directeur général de l'OIV.

Dans le détail, des pays comme la France, numéro un mondial pour la consommation et deux pour la production derrière l'Italie, ont vu leur demande baisser respectivement de 2,9% et 6,4%. En Europe, c'est l'Espagne qui enregistre le plus fort recul avec une chute de 11,6% de sa consommation (11,3 Mhl contre 29,9 Mhl en France). À eux trois, ces pays représentent près de 47,2% de la production mondiale et 28% de la demande.

Outre la crise, on note dans ces pays un changement dans les habitudes d'achats, le vin devenant une boisson festive mais étant de moins en moins consommé à tous les repas. Notamment parmi les jeunes, qui préfèrent la bière ou d'autres boissons alcoolisées ou non.

Les producteurs de ces pays pouvaient jusqu'ici se rattraper sur leurs exportations... Mais la demande de quelques-uns des plus gros importateurs, comme l'Allemagne ou la Grande-Bretagne (respectivement 8,6% et 5,4% de la consommation mondiale), a également baissé l'an dernier, de 2,4% et de 6%. «Là encore, l'influence de la crise a réduit la demande dans ces pays importateurs», remarque Federico Castellucci.

Toutefois, le tableau n'est pas entièrement noir. Les échanges internationaux de vins continuent à représenter une part importante de la consommation mondiale de vin en 2009, soit 36,4%. «Cela signifie que plus de 3 bouteilles et demie sur 10 sont consommées en dehors de leurs pays de production au cours de l'année 2009», poursuit le responsable. C'est surtout le vrac (les «cubis») qui a eu le vent poupe en 2009. «Un rosé, cépage, vendu en vrac, c'est le vin du futur en terme de ventes», caricature Federico Castellucci.

Source : Le Figaro

Tagdevin fait parler les bouteilles

La société TAGDEVIN, affiliée à l’Université de Nantes, propose aux vignerons, cavistes, syndicats et groupements de vignerons d’enrichir les contre-étiquettes parfois trop peu représentatives du travail effectué en amont et de leurs histoires de familles, de terroirs et de passion.

Grâce à un concept innovant de codes barres 2D apposés sur les bouteilles, fondé sur les nouvelles technologies mobiles, TAGDEVIN met à la disposition du consommateur un ensemble d’informations multimédia, interactives et immédiates en toute simplicité et gratuité.

Un simple coup de "flash" à l'aide d'un smartphone (par exemple iPhone, blackberry, etc.) sur un code barre 2D apposé sur une bouteille et Tagdevin vous connecte immédiatement à un site web mobile où vous allez pouvoir consulter, dans plusieurs langues, l'histoire du vin, du vignoble et du vigneron, les photos du domaine, la fiche technique du millésime, une vidéo de dégustation pour les néophytes, des accords mets et vins, les avis des autres consommateurs, etc. 

Un véritable ensemble d'information multimédia gratuite, internationale et consultable en toute simplicité - 1 flash, 1 click, 1 contenu !

 

 

Comment les nouvelles technologies influencent la consommation de vin

L'agence conseil en marketing dédiée à l'univers des vins et spiritueux SOWINE vient de mener la première étude sur l'impact des nouvelles technologies, d'Internet et des réseaux sociaux sur le comportement des consommateurs de vin en France.

Les principaux enseignements à retenir :

Le consommateur français a soif… d’informations !
L’étude menée par SOWINE et SSI démontre que 70% des Français considèrent le vin comme un produit
« à part », différent des autres alcools même si 63% d’entre eux se disent néophytes ou débutants en la
matière. Et 78% des sondés estiment qu’il est nécessaire de s’informer avant d’acheter du vin.
Autre révélation : Internet devance les guides d’achat ou la presse écrite magazine comme source
d’information privilégiée pour préparer un achat de vin.

Le vin et la gastronomie : le sujet favori des lecteurs de blogs et utilisateurs de forums
En plus des sites web des producteurs, les blogs et forums s’imposent comme des sources d’informations
auxquelles les consommateurs accordent une confiance prépondérante. 45% de ces lecteurs et utilisateurs
fréquentent spécifiquement les blogs et forums traitant de vin et de gastronomie : 87% ont une confiance
marquée dans l’information qu’ils y trouvent.

Une activité plus soutenue sur les réseaux sociaux pour les acheteurs de vin
L’étude montre que les acheteurs de vin ont une activité fréquente sur les réseaux sociaux (26% plus
élevée que la moyenne), que ce soit pour y chercher de l’information, y donner des conseils ou simplement
pour dialoguer.

Un panier moyen multiplié par près de 4 sur Internet
Le baromètre souligne les différences entre les comportements d’achat de vin sur Internet versus l’activité
offline. Le panier moyen sur le web est près de 4 fois supérieur à celui en circuit traditionnel. Ceci dit,
60% des consommateurs préparant leurs achats vin sur Internet finissent par acheter dans le monde réel.
Preuve de l’importance des nouvelles technologies dans la décision d’achat, qu’elle soit online ou offline !

Pour en savoir plus, n'hésitez pas à contacter l'agence SOWINE

CONTACT PRESSE - BAROMÈTRE SOWINE/SSI 2010
Sylvain Dadé Co-fondateur & Directeur Associé Agence SOWINE
Tel 01 77 62 39 74 Web | www.sowine.com

Forte baisse des exportations de vins et spiritueux français en 2009

Les exportations de vins et spiritueux ont baissé de 16,9 % l'an passé. Le haut de gamme souffre. Les vignerons français sont pénalisés par le maquis des appellations d'origine et ne savent pas produire à prix accessible.

Une vodka distillée à Cognac a sauvé l'honneur des spiritueux français ! La vodka est en effet le seul alcool dont les exportations ont progressé en 2009. Elles ont bondi de 13,7 %… uniquement grâce au succès de Grey Goose, la vodka «made in France» inventée par un Américain en 1997 et rachetée par Bacardi-Martini en 2004.

Cette progression masque une annus horribilis pour les vins et spiritueux français. Producteurs et négociants n'ont exporté l'an passé que 1,6 milliard de bouteilles de vin (8,2 % de moins qu'en 2008) et 600 millions de bouteilles de spiritueux (en baisse de 8,6 %). Une chute d'autant plus spectaculaire que dans le même temps, le marché mondial a été stable.

La dégringolade est encore plus spectaculaire en chiffres d'affaires : les ventes ont reculé de 16,6 %, à 7,74 milliards d'euros. «Les vins et spiritueux restent tout de même le troisième secteur excédentaire français derrière l'aéronautique et les parfums», tempère Claude de Jouvencel, le président de la Fédération des exportateurs de vins et spiritueux (FEVS). La filière a dégagé un excédent de 6,5 milliards d'euros. Mais les importations de spiritueux ont augmenté de 1 % en valeur, grâce à la bonne santé du scotch, tandis que celles de vins (venus d'Espagne et du Portugal pour l'essentiel) n'ont reculé que de 6 %.

Offre trop complexe 

Les vins et spiritueux français souffrent en fait de leur positionnement haut de gamme. Dans les champagnes par exemple, les cuvées millésimées et de prestige ont le plus souffert. Les exportations de mousseux, dix fois moins importantes en valeur, sont stables. Si les ventes de vins de Bordeaux ont autant reculé, c'est parce que la région n'a pas profité l'an passé des performances des bouteilles millésimées 2005, qui s'étaient vendues au prix fort en 2008, explique-t-on à la FEVS.

Toutefois, certains acteurs mettent aussi en cause la complexité de l'offre de vins français, qui compte près de 400 appellations d'origine contrôlée. «Le vin est devenu un produit de masse et mondialisé. Les consommateurs ont déjà du mal à situer la France sur une carte, souligne Guillaume Ryckwaert, PDG du négociant Raphaël Michel. Comment voulez-vous leur faire comprendre la différence entre Gigondas et Vacqueyras ?» Les producteurs français ont encore du mal à s'adapter aux attentes des nouveaux clients, qui préfèrent souvent les cépages (syrah, sauvignon…) aux terroirs.

«L'an passé, les consommateurs ont privilégié les produits meilleur marché, ce qui a favorisé les vins de pays et les vins de table», indique-t-on à la FEVS. Sur ces segments d'entrée de gamme, les producteurs français restent pourtant en général moins compétitifs que leurs concurrents du nouveau monde, capables d'offrir des bouteilles de meilleur rapport qualité-prix en volumes importants. S'ils ne changent pas de stratégie, le salut pourrait venir, comme pour la vodka, des Américains qui imposeront leurs méthodes marketing pour redresser les exportations de vin français.

Auteur : Ivan Letessier, Le Figaro

Source : Le Figaro

Promouvoir les vins culinaires

Rien de tel que de saisir une nouvelle opportunité pour rendre la vie des consommateurs plus facile, comme d'innombrables innovations peuvent le prouver chaque jour. Prenons le cas du choix d'un bon vin.
Comment choisir un bon vin ... à cuisiner ? Original n'est-ce pas ?  Il ne faut pas négliger la qualité du vin en cuisine lorsque l'on est un fin gourmet.
Académie Wines, une maison californienne, a mis en place un système de classification qui permet de rendre le choix d'un bon vin culinaire plus facile.
Premièrement, tous les vins sélectionnés proviennent des régions viticoles les plus réputées de Californie. Ensuite, avec l'aide de grands chefs, la société a développé une ligne de quatre mélanges qui sont conçus pour agrémenter vos créations culinaires du mieux qu'ils le peuvent. Des vins qui n'ont pas de nom mais qui sont numérotés et mis en bouteille avec des codes couleurs, permettant une reconnaissance plus facile et surtout de le garder en mémoire.
Par exemple Blend 1 est conçu pour une utilisation dans les sauces pour viandes rouges.
Blend 2, cibles les plats de fruits de mer, de volaille et de porc et ainsi de suite. Tous les vins Académie sont aussi très convenables à déguster au verre. Pour finir et pour faciliter la magie culinaire, le site de l'Académie propose une sélection de recettes utilisant chacun des vins de sa ligne.
Disponible uniquement en Californie pour le moment, la course aux partenariats est ouverte !

BuSurLeWeb : la nouvelle websérie dédié au vin venu du Québec

Décidémment le vin se démocratise et qui, en plus d'être un des secteurs les plus créatifs, sait aussi faire preuve d'un esprit décalé !

Après le succès de Gary Vaynerchuck dont je vous ai déjà parlé ici, voici venu une nouvelle websérie dédié au vin venu du Québec animé par la pétillante, spontanée et surtout adorable Aurelia Fillion.

Bu Sur Le Web propose une série de dégustation de vins qui inspirent la jeune vinophile à la passion contagieuse et à la spontanéité désarmante.. C'est frais, drôle, authentique, rafraichissant,  charmant et surtout ça donne envie de trinquer avec elle !

Je vous poste ci-dessous une de ses chroniques et vous invite vivement à découvrir son blog et vous laisser vous évader avec elle !